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  • A Propos de moi

    Il y a dans la peinture chinoise une profondeur spirituelle qui associée à la technique en font une vraie philosophie contrairement à notre enseignement occidental. Je vous présente le résultat du mariage entre l'école orientale et occidentale que j'exprime dans mes oeuvres.

    Un peu d'histoire

    Emergence de la peinture chinoise

    La peinture chinoise classique n'a émergé qu'après l'essor de la calligraphie chinoise sur papier de riz, dont elle est pour ainsi dire intégralement issue. La peinture de paysages constitue le genre le plus "noble" de la peinture chinoise classique, ou s'y trament les conceptions micro et macro-cosmiques chinoises de l'univers. Ce n'est pas un art figuratif d'après modèle, mais plutôt le précipité de l'état d'esprit du peintre, qui se met au travail non sans avoir préalablement visité la montagne dépeinte.

    Histoire et Légendes

    Prochaines Expos

    27April

    MESSAGGI

    From April 27th to May 21st 2022, MONS ART STAGE, VIA DI SAN PANTALEO, 59 - 00186 ROME ITALY Everyday from 4pm to 8pm or in the morning by appointment monsartstage@gmail.com - tel +39 3319191162

  • Biographie

    Née à Rome en 1967, Diplômée de L'IED Istituto Europeo di Design de Rome et de l'Institut supérieur de communication ; études publicitaires de direction artistique et marketing.

    « Issue d'une famille d'artistes - un frère compositeur, une grand-mère poète, une tante sculptrice, 2 oncles et un cousin peintres - j'ai baigné dans l'art dès mon plus jeune âge. Mes études en direction artistique, ainsi que mes nombreux stages, en aquarelle, peinture à l'huile et à L'acrylique, m'ont permis d'affiner ma sensibilité et mes dons artistiques. La curiosité et l'envie d'apprendre d'autres techniques m'ont fait découvrir, il y a plusieurs années, la peinture chinoise. Après ces années d'étude en direction artistique et ces années passées en agence de communication, j'ai souhaité me recentrer sur ma passion le dessin et la peinture. Au long des années j'ai pu appréhender l'aquarelle, la peinture à L'huile et l'acrylique sur bois, pour arriver à la peinture chinoise ».

    « Peindre, c’est créer un vide en soi-même, une tranquillité, une sérénité, une paix intérieure. C’est seulement dans cet état d’âme que je peux m’exprimer et laisser ressortir le meilleur de mon art. Je ne peins plus le bambou ou le lotus, je suis le bambou et le lotus ».

    Historique

  • Best Of

    Atelier Arnaud Marie

    Galerie du Vert Galant

    Galerie Thuillier

    Art en 1er

    Maison des Associations du 1er

    IGN

    Beffroi du 1er

    Etranger

    Divers

    Vidéos

  • A Propos de mon travail

    Les Pinceaux sont utilisés pour la peinture et pour la calligraphie. Ces deux arts sont d'ailleurs étroitement liés. Non seulement de nombreuses peintures chinoises portent des inscriptions calligraphiques, mais les tracés dans la peinture, généralement les contours, ont une apparence nettement calligraphique.

    Les Pinceaux Chinois

    Le pinceau chinois est d'une importance capitale dans la peinture chinoise ; c'est un outil beaucoup plus raffiné que le pinceau occidental. Il y a toute une couronne de poils courts et plus doux qui agissent comme réservoir qui prolonge le noyau formé de poils longs, résistants et aux fines pointes. Lemême pinceau peut tracer aussi bien des lignes extrêmement fines que des lignes très épaisses.

    Autres techniques et matériaux

    Avant le xxe siècle, les peintres chinois n'avaient jamais utilisé la peinture à l'huile. Seules l'encre chinoise et les couleurs à l'eau étaient appliquées sur du papier ou de la soie. Le papier chinois est très absorbant. Une fois qu'un trait a été tiré, il est impossible de le corriger. Pour les peintures très élaborées, le papier est traité avec de l'alun, qui le rend moins absorbant.

    Le Sceau de l'Artiste

    Sur la plupart des peintures chinoises, on peut voir une estampe à l'encre rouge ou un sceau indiquant le nom de l'artiste. La plupart des œuvres chinoises sont peintes sur rouleau. Elles sont composées de deux bâtons de bois, épais en bas et mince en haut. Quand on ne les expose pas, on les roule autour du plus gros bâton pour pouvoir les ranger.

  • Actualités

  • Contact Info

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  • En Savoir Plus

    Et harum quidem rerum

    Egle Tucci a souhaité recentrer sa passion sur le dessin et la peinture qui l’ont conduite à la peinture chinoise. Après plusieurs années passées auprès des maîtres de peinture chinoise, Egle Tucci a pénétré la profondeur spirituelle de cette peinture, laquelle associée à la technique, les pinceaux et les papiers, conduisent à une vraie philosophie.

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    Blanditiis praesentium voluptatum

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  • Histoire et Légendes de la peinture chinoise

    Symbolisme et Harmonie

    La peinture traditionnelle prend une autre dimension si l’on connaît toutes les significations des symboles, des légendes de la vie chinoise. Les tableaux ont pour objet de créer un environnement de vie harmonieuse par la force des symboles selon la célèbre science chinoise élaborée, il y a plus de 4000 ans, et que l’on nomme «Feng Shui» primordiale dans la vie asiatique.

    La légende du panda

    Autrefois, les pandas étaient tout blancs. Mais un jour, ils allèrent à l'enterrement d'une petite fille. En signe de deuil, ils avaient pris de la cendre dans leurs mains. Comme ils étaient très tristes, ils se frottèrent les yeux pour essuyer leurs larmes. Pour se consoler, ils s'entourèrent de leurs bras. Ils se bouchèrent les oreilles pour ne pas entendre les pleurs.

    Et depuis ce jour, les pandas sont blancs ... et noirs.

    La Leçon du Bambou Le Cheval de Mongolie La Grue Jaune
  • La Leçon du Bambou, Morale Chinoise

    Il était une fois un grand jardin, merveilleux, au milieu d'un royaume. Le Maître aimait à s'y promener quand la chaleur du jour devenait accablante. Il affectionnait tout particulièrement le bambou qui lui semblait l'arbre le plus beau de toutes les plantes de son jardin. Au fil des années, ce bambou grandissait, devenait vigoureux et toujours plus conscient de la faveur du Maître.
    Un jour, celui-ci s'approcha de l'arbre et le bambou inclina son faîte respectueusement. Le Maître lui dit :
    - Mon cher bambou, j'ai besoin de toi.
    Il semblait que le grand jour fut enfin arrivé, le jour pour lequel le bambou avait été créé. Le bambou répondit donc d'une voix douce
    - Maître, je suis prêt. Fais de moi ce que tu voudras.
    - Bambou, ajouta le Maître d'une voix solennelle, pour me servir de toi il faut que je te coupe.
    - Me couper moi que tu considères comme la plus belle parure de ton jardin, non ne fais pas cela !
    - Mon cher bambou, répondit le Maître, si je ne te coupe pas, tu ne sers de rien.
    Le jardin se fit calme; le vent retint son souffle, le bambou inclina sa tète doucement et puis lui murmura:
    - Maître, puisque tu ne peux m'utiliser sans me couper. Alors je suis prêt arrache-moi
    - Mon cher bambou, il me faudra t'enlever toutes les branches et toutes les feuilles.
    - Ah ! non, pas cela, détruis ma beauté, mais laisse-moi mes rameaux de feuilles.
    - Si je ne te les enlève pas, je ne peux pas t'utiliser.
    Le soleil se cacha, un papillon s'envola et le bambou, tremblant à l'idée de ce qui allait lui arriver, lit dans un souffle :
    - Maître, enlève les rameaux et les feuilles.
    - Bambou, dit encore le Maître, il faudra te faire autre chose : Je te couperai par le milieu et je t'enlèverai le cœur. Si je ne le fais pas, tu ne sers de rien.
    - Oui, Maître : arrache le cœur et découpe.
    Alors le Maître du jardin arracha le bambou, coupa ses rameaux et toutes ses feuilles, le tailla en deux sur toute sa longueur et lui enleva le cœur.
    Puis, il le transporta près d'une source d'eau fraîche et scintillante au milieu des champs desséchés. Il déposa le bambou soigneusement sur le sol; il posa l'une des extrémités du tronc sous la source tandis que l'autre atteignait le sillon d'arrosage dans le champ.
    La source chanta sa joie, l'eau claire bondit à travers le corps déchiqueté du bambou jusque dans le canal et se mit aussitôt à abreuver les champs assoiffés. Puis on repiqua le riz et les jours s'écoulèrent. Les pousses grandirent et ce fut bientôt le temps de la moisson. C'est ainsi que le bambou, autrefois si majestueux, devint dans son humble état de débris, une grande bénédiction.

    Quand il était encore grand et beau, il ne poussait que pour lui-même et se réjouissait de sa beauté. Mais dans son brisement, il était devenu un canal dont le Maître se servait pour faire fructifier son Royaume.

  • Une légende de la découverte de la soie en Chine

    Dans des temps reculés et instables, un homme avait été fait prisonnier par une bande de hors-la-loi, laissant derrière lui sa femme, sa fille et son cheval. Le jeune fille se languissait tant de revoir son père que la mère promit sa main à qui le ramènerait. Sa seule consolation était de soigner l’étalon de son père disparu. Mais elle dépérissait un peu plus chaque jour car, même les plus intrépides garçons du voisinage ne purent ramener son père.

    Le cheval, lui, en dehors des moments passés avec la jeune fille, devenait de plus en plus capricieux, ruant à qui mieux mieux, mordant quiconque l’approchait. Une nuit, enfin, brisant son étrave, il s’en fut au galop. Quelques jours plus tard, il revint au bercail, caracolant avec le prisonnier sur son dos.

    La jeune fille retrouva la joie de vivre, mais le cheval, curieusement était plus intraitable que jamais. Il n’était même pas question de le monter. La mère dévoila alors à son époux la promesse qu’elle avait faite : elle s’était engagée auprès du cheval à lui donner sa fille en mariage s'il sauvait son mari !

    Fou de rage, son époux lui dit que l’on ne pouvait marier leur fille à un cheval et il tua l’étalon d’une flèche pour mettre fin à son agressivité. Le cheval fut écorché et sa peau mise à sècher dans la cour.

    Par une belle journée de brise légère, la jeune fille voulut étendre le linge qu’elle avait lavé. Comme elle passait près de la peau du cheval, un violent tourbillon s’éleva. La peau, soulevée du sol, enveloppa le corps de la jeune fille. Emportée dans les airs, elle fut enlevée à sa famille.

    Se repentant trop tard de n’avoir pas tenu leurs engagements, les parents la crurent perdue à jamais. Quelle ne fut pas leur stupeur de la découvrir un jour, métamorphosée en chenille, coiffée d’une tête de cheval et dévorant les feuilles des arbres du jardin. De sa bouche ne sortaient plus un mot, mais un fil dont elle emmaillotait son corps. Ses parents, qui lui rendaient visite chaque jour, virent son corps enfler, gonfler, se dilater, pour devenir un monstrueux abdomen. Et puis soudain la créature disparut.

    Attérés de cette monstrueuse aventure, les parents pleurèrent leur fille perdue. Mais un matin ensoleillé, elle apparut encore une fois. Radieuse, elle avait retrouvé forme humaine et montait le cheval ravisseur à qui avaient poussé des ailes, caracolant dans les nuages.

    Elle conta sa métamorphose et enseigna à ses parents comment obtenir le fil qu’elle avait sécrété de sa bouche. Le fabuleux équipage s’évanouit ensuite dans les airs. C’est ainsi que les chinois apprirent le secret de l’origine de la soie.

  • La Grue Jaune

    Un homme du nom de Xin Shi tenait une taverne sur la colline du Serpent à Wuhan. Un pauvre vieillard arriva un jour et lui demanda une bolée d'alcool bien qu'il n'ai pas d'argent. Xin Shi la lui servit. Par la suite l'homme revint tous les jours pendant un an et Xin Shi lui offrit cette bolée car il avait bon coeur.

    Le dernier jour de l'année, trainant sur le sol de la taverne une pelure orange, le vieil homme s'en servit pour dessiner une grue sur le mur. Quelques instants plus tard, une grue jaune s'en détacha et le vieil homme dit au tavernier : « Cet oiseau sait bien danser et chanter. Il est magique et te portera bonheur ».

    Le tavernier vit par la suite sa clientèle se multiplier car tout le monde voulait voir et écouter l'oiseau. Xin Shi devint alors riche.

    Le vieil homme revint une année plus tard et dit au tavernier : « j'ai remboursé ma dette, je dois donc reprendre mon oiseau, qui est aussi ma monture » et il partit alors sur le dos de la grue jaune qui s'envola.

    L'actuel pavillon de la Grue Jaune à Wuhan aurait été construit dans l'espoir de revoir un jour ce vieil homme qui se nommait Lu Dongbin, l'un des huit immortels du taoïsme.

  • Les Chats

  • Portes ouvertes des ateliers des artistes du 1er arrondissement de Paris

  • Le Beffroi des Artistes du 1er

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